Canoniquement érigée et affiliée à l'Archiconfrérie des Saints-Anges.
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Revue dirigée par les Clercs de Saint-Viateur.
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| 1836: | Dans le Directoire de l’Institut des Clercs de Saint-Viateur qu’il a créé, le P. Querbes recommande la confiance aux Anges Gardiens : « Ayez une grande confiance aux Anges tutélaires du lieu, aux Anges Gardiens de vos enfants, à leurs saints patrons et aux patrons de la jeunesse. » |
| 1859: | (2 février) Le P. Querbes établit l’Association des Saints Anges pour les jeunes filles de la paroisse de Vourles (Rhône). |
| 1862: | Une congrégation ou société des Saints Anges Gardiens est établie au collège de la maison provinciale de Joliette. |
| 1884: | Le P. Souques obtient l’établissement d’une Confrérie de l’Ange Gardien dans la chapelle de la maison provinciale de Camonil (Rodez), dont il est le supérieur. |
| 1891: | (mai) Le P. Souques fait paraître le premier numéro du bulletin L’Ange Gardien. |
| 1892: | (mars) La confrérie de Vourles est agrégée à l’Archiconfrérie romaine des Saints Anges Gardiens. |
| 1895: | (février) Le centre de la confrérie est transféré de Vourles à Oullins, près de Lyon. |
| 1898: | Le bulletin compte plus de 10 000 abonnés. |
| 1905: | (28 février), L’Ange Gardien se transporte à Paris, dans le quartier de Bel-Air. |
| 1916: | L’Ange Gardien change de quartier, et emménage au 47 rue du Sahel. |
| 1918: | (novembre) L’Ange Gardien compte 12 900 abonnés au bulletin, et 26 000 inscrits à la confrérie en France. |
| 1929: | Mgr Chaillol, évêque de Rodez, érige une Archiconfrérie des Saints Anges Gardiens dans sa cathédrale, à l’occasion du 4e centenaire de la mort du Bx François d’Estaing, qui avait instauré une fête en leur honneur au XVIe siècle. |
| 1939: | Du fait de la pénurie de charbon et de papier, les numéros de guerre du bulletin se présentent sous une impression menue et tassée et passent du rythme mensuel au rythme bimestriel. |
| 1950: | Le bulletin adopte pour sous-titre : Bulletin de la vie chrétienne au foyer. |
| 1958: | Le bulletin redevient lyonnais : le déménagement s’effectue en novembre de Paris à Lyon, au 28 rue du Bon Pasteur à la Croix-Rousse (jusqu’en 1992). |
| 1968: | Le nouveau titre du bulletin Vie chrétienne au foyer, illustre le changement d’accent et de contenu : la présentation du bulletin est renouvelée, titres plus « percutants », orientation plus marquée vers la vie de l’Eglise et la personne de Jésus-Christ plutôt que vers une dévotion particulière ainsi qu’y invitent les enseignements de Vatican II. Un Ange figure toujours sur la page de garde : L’Ange de Fra Angelico, celui de l’Apocalypse emprunté à quelque vitrail, ou quelque ange sculpté, le plus souvent l’ange au sourire de la cathédrale de Reims, qui sera plus tard définitivement adopté comme illustration unique de page de garde. |
| 1977: | Le bulletin adopte le double titre : L’Ange Gardien – Vie chrétienne au foyer. |
| 1988: | Le bulletin célèbre son centenaire. Une rétrospective est publiée par fragments durant plusieurs années, par le P. Louis Chauffour (de nov.-déc. 1988 à sept.-oct. 1996). |
| 1991: | la revue de sept.-oct. présente le « centenaire en photos », rassemblant les visages des directeurs successifs du bulletin, les félicitations du P. Audet, supérieur général, du cardinal Decourtray, archevêque de Lyon, et l’audience privée du saint pape Jean-Paul II. |
| 1992: | L’Ange Gardien est transféré au Foyer Saint-Laurent (autre maison de la communauté), 21 montée Saint Laurent, 69005 Lyon, sur les pentes de Fourvière, où il se trouve encore. |
| 2015: | L'aventure continue ! |
1891-1896 : P. Célestin Souques 1896-1903 : P. Thomas Rémi Coutu 1903-1904 : P. Pierre Robert 1905-1920 : P. Cyprien Bousquet 1920-1923 : P. Alexandre Séguret 1923-1938 : P. Henri Gardou 1938-1945 : P. Joseph Badel 1945-1949 : P. Henri Gardou 1949-1961 : P. Jules Blanchard 1961-1971 : P. Emile Paucot 1971-1981 : P. Marel Goutard 1981-1982 : P. André Crozier 1982-2005 : P. Louis Chauffour 2005-…… : F. André Charlebois |